Son histoire commence comme toute les autres, à sa naissance, Jolaona est née d’une mère et d’un père au pelage chaud dans la meute Hikari. Elle est née avec des yeux presque rouge et un pelage aussi chaud que celui de ses parents. Jolaona ne voie pas le monde comme nous le voyons avec différent contraste, l’ombre, le noir de la nuit et le bleu du ciel ensoleillé, non elle voit le monde de façon floue, presque inreconnaissable, les forme son distincte, mais trop floue pour, qui n'est pas habitué, distinguer les différents animaux, arbres ou autre. Elle voit des taches jaune, rouge et bleu en fonctions de leurs chaleur on peut dire que Jolaona voit les couche de la terre,
car même si quelque est sous une autre elle le voit quand même, comme les insectes sous la terre.
Pour Jolaona tout cela est normal, tout le monde vois comme elle et ses parent pensent eux aussi qu’elle voit comme eux, même si en hivers Jolaona n’avait aucun mal à trouver les lapins qui s'étaient cachés dans leur terrier, car contrairement à la terre très froide de ses mois d’hiver et donc de couleur bleue le lapin, lui était jaune presque rouge. Jolaona malgré sa facilité étonnante à trouver des proies elle voulu se diriger vers la guérison même si sa vision était pour elle un handicap, mais comme elle est persuadée que tout le monde voie comme elle, elle ne s’en rend pas compte.
Elle fit son apprentissage avec un loup assez âgé qui est mort de vieillesse peut de temps après l’apprentissage de Jolaona. Il était très gentil avec elle et lui à très bien appris à soigner malgré son handicap qu’il remarqua presque tout de suite. Ce n’est que lorsqu’il le remarqua que Jolaona prit conscience qu’elle ne voyait pas comme les autres, mais ce n’est pas pour autant qu’elle abandonna son rêve de devenir guérisseuse. Elle apprit très bien malgrès sa vision anormal qui était encore assez floue et elle s'attache énormément à son mentor, elle l'admirait et le respectait, ce sera une des rares personne qu’elle vas vouvoyer dans sa vie même l’Alpha de la meute aura le droit au “tu”. Le jour de la mort de son mentor Jolaona venait de finir son apprentissage et par habitude elle allait chez lui pour sa leçon du jour; il décéda devant ses yeux. Elle n'oubliera jamais le virement de couleur de son corps du jaune au bleue, couleur du froid. Couleur de la mort. Jolaona avait pleuré longuement son départ vers le ciel.La vie continuait à défiler et elle devient une bonne guérisseuse.
Seule elle dû apprendre à reconnaître les loups autrement qu’avec ses yeux, c’est alors qu’elle développa son odora. Elle savait à qui appartenait tel ou tel odeur, si il était blessé ou pas, ou il avait été,... Son rôle de guérisseuse lui permettait aussi de voyage pour récupérer les plantes, ce qu’elle faisait volontier. Elle courait alors dans les bois jusqu'à n’en plus pouvoir et partait à la conquête de nouvelle chose à apprendre.
Jolaona cachait à tout le monde sa particularité de peur qu’il ne la prenne plus au sérieux dans son rôle de guérisseuse. Ce secret pouvait s'avérer lourd à porter, mais jamais elle ne se plaignait. Elle écoutait très attentivement les plaintes de ses patient pour oublier ses malheures, la vision trop compliquée à supporter des corps jaune virent au bleue. Elle rêvait par moment de voir comme chaque loup, de voir la couleur de leur pelage, la couleur de leur yeux, les couleur de la forêt jaune ou bleue, vivant ou morte,...
Elle se demandait souvent pourquoi elle voyait comme ça et à quoi ressemblerait le monde si elle voyait comme les autres. Quand de jeune loup racontent à d’autre loup leur escapade à l’extérieur du camp elle écoutait écoutait attentivement, il parlait de ver, de brun, de bleu clair, de blanc,... toute c’est couleur qui lui sont inconnues. Durant ces moment elle essayait d’imaginer le monde teinté de mille couleurs. Il disent que le ciel est claire la journée et foncer la nuit, que le jour est accompagné du soleil qui est jaune et la nuit de la lune qui est blanche presque grise. C’est à la lune qui hurle, mais pour Jolaona la différence est si infime que si on ne lui avait pas dit elle n’aurais pas apprit à les différencier, car le” jour” le cercle qui monte dans le ciel et un peu plus chaud que le “soir”. Son mentor lui avait aussi expliqué qu’il ne voyait pas les animaux qui sont sous le sol ça lui avait paru bizarre puis elle c’était habituer à cette idée, à l’idée qu’elle ne voyait pas comme les autres.
Mais jamais elle n’a encore aimé son “pouvoir”.