« Welcome to the new age. »Âge : 3 ans Sexe : Femelle Meute : Vagabonde Rang : // Pouvoir (Souffrance Radioactive) : ... Paliers: (CF: Ici) Plume: Loneless ne contrôles pas ses flammes radioactives. Elles surgissent surtout lorsque la louve ressent une très forte émotion, souvent de la tristesse. Elles consumes tout dans un rayon de 3 mètres. Aile: Loneless ne contrôles pas ses flammes radioactives. Elles surgissent surtout lorsque la louve ressent une très forte émotion, souvent de la tristesse. Elles consumes tout dans un rayon de 2 mètres. Phoenix: Loneless ne contrôles pas ses flammes radioactives. Elles surgissent surtout lorsque la louve ressent une très forte émotion, souvent de la tristesse. Elles consumes tout dans un rayon de 1 mètre. Griffon: Loneless est capable de contenir ses émotions pour empêcher les flammes radioactives de surgir sans prévenir. Elles consumes tout dans un rayon de 1 mètre. Dragon: Loneless est capable de contrôler et de décider quand faire surgir ses flammes radioactives. Elles consumes tout dans un rayon de 1 mètre. | Caractère Très craintive, Loneless vit cachée de tous. Elle à honte du monstre qu'elle est devenue et pour éviter de faire souffrir les innocents qu'elle pourrai rencontrer, celle-ci préfère fuir plutôt que d'être vu par l'un de ses semblables. La peur du rejet et de ne pas être acceptée la rende solitaire. Cependant pas une once d'agressivité ou de méchanceté ne réside en Loneless. Parfois, elle aimerai pouvoir pleurer, mais en vint. Afin de rester discrète, Loneless ne sort de sa tanière qu'à la nuit tombée. Elle ne voit en elle-même que du dégoût pour son physique amoché et remet souvent en question sa raison de vivre. Mais plus elle essai d'y réfléchir et moins elle se souvient. Loneless est amnésique. Elle s'est réveillée un matin sans que plus aucuns souvenir de ce qui c'était passé jusque là, ne lui reste. Aujourd'hui et à cause de cet "incident", elle n'accorde pas sa confiance facilement. Mais, malgré les circonstances, elle est loin d'être naïve. Marquée par les événements, Loneless vie dans la peur de l'inconnu. Elle fait souvent des cauchemars, revivant sans cesse son réveil dans cette flaque de produits chimiques qui ont rongés son pelage la défigurant à tout jamais. |
Physique Le pelage immaculé et la pupille verte. Jusque la rien d'anormal. De taille moyenne son corps reste maigre, mais la encore rien d'étrange. Non ce qui est extraordinaire, c'est sa patte avant gauche et sa mâchoire inférieur. Rongés par les produits chimiques, son pelage et sa peau se sont dissous pour laisser apparaître aux yeux de tous, ses os abîmé et brûlé par l'agressivité de la radioactivité. Loneless est défigurée à jamais sans connaître la raison de son réveil dans cette flaque toxique. |
Histoire
Le soleil se levait doucement à l'horizon. Une brise glaciale caressait mes flancs faisant courir un frisson le long de ma colonne. Une douleur m'avait saisie le museau. Une sensation de chaleur m'envahie et me paralysa. Mes yeux se crispèrent, impossible de les ouvrir. Alors, j'essayais d'humidifier ma truffe séchée par l'air sec, d'un coup de langue. Mais ce gout de terre en bouche... Semblait trop réaliste. Je me forçais à ouvrir un œil et laissais la lumière dilater mon iris habitué à l'obscurité de mes paupières. D'immense arbres m'entouraient. Beaucoup étaient déjà mort. La brume se tenait tapis au sol, brouillant toute vision. Je prenais un grand bol d'air frais, décrassant mes poumons d'une toux roque. Une odeur étrange me resta dans la truffe. Je m'ébrouais et tentais de me dresser sur mes membres frêles. Je tremblais et re-tombais mollement sur le sol. Une brise se leva alors, donnant l'illusion que des voix lointaines se moquaient de ma faiblesse. Je soupirais et ré-essayais. Je parvenais enfin à me tenir droite et pourtant je sentais comme l'absence d'une patte. Comme s'il en manquait une. Je baissais lentement le regard, j'avais peur de ce que j'allais découvrir.
Plus de griffes. Plus de coussinets. Plus de poils. Plus de peau. Plus rien. Juste des os. Mon squelette était à nu sur tout la longueur de ma patte avant gauche, comme si elle avait été déchiquetée. Puis dans l'angle mort de mon champ de vision, j’apercevais la flaque dans laquelle je baignais depuis des heures durant. Elle avait une couleur étrange mais mon reflet y apparaissait nettement. Mes oreilles se couchèrent en arrière et ma queue se logea entre mes flancs. Ma mâchoire inférieure avait subit le même sort que ma patte. Je reculais subitement, je ne voulais plus me voir ainsi. Cette image de moi... N'inspirait que la mort ! Ma respiration s'accéléra et mon premier réflexe fut de courir me cacher dans un trou, entre les racines de l'arbre le plus proche. Un vieux chêne sans feuilles. Personne ne devait avoir à contempler une pareille horreur que celle que j'étais devenue !
J'étais... J'étais... Je ne me souvenais pas. Impossible de me rappeler qui j'étais ! Un nom ? Un lieu ? Rien. Plus je réfléchissais, moins je parvenais à me souvenir. Que c'était-il passé ? Comment étais-je arrivé ici et pourquoi ? Je ne me souviens ni de mon nom, ni même de mon âge. Avais-je vécu ici avant ? Avais-je des connaissances ? Je n'en avais pas la moindre idée, tout devenais flou dans ma tête. Et l'oxygène commençait à me manquer, je n'arrivais plus à me contrôler. Je sortais dehors pour reprendre mes esprits et me calmer. Faisant quelques pas pour m’accoutumer de mon nouveau physique, je constatais que mon funeste destin me réservait encore de mauvaises surprises...
Le quelques pousses d'herbes mourraient sur mon passage. Les animaux semblaient me craindre. Quelques chose d'autre en moi avait changé. Quelques chose d'anormal se produisait autour de moi. Quelques chose que je provoquais inconsciemment et contre mon grès. Je m’asseyais et observais le ciel maintenant ensoleillé. Cette journée était devenue la pire de ma vie, d'aussi loin que je me souvenais... Mon cœur était rempli de tristesse et pourtant il m'était interdit de verser la moindre larme. Je le voulais mais... en vint. La colère me gagna brièvement et je poussais un hurlement de désespoir, pensant que cela me soulagerai. D'immenses flammes vertes jaillirent de mon corps d'un seul coup et s’éteignirent aussi vite qu'elles étaient apparues. Une voix sembla répondre à mon hurlement, venant du plus profond du bois. Inquiète je retournais dans mon trou enraciné, persuadée qu'il me protégerai. C'est ainsi qu'il devint officiellement : ma tanière.