Née au milieu d’une belle après midi, sous un soleil éclatant. Elle se blottissait contre moi, depuis ce jour, je me suis promis de toujours la projeter.
Le temps passait, ma sœur Érin et moi, nous avons découvert que nous étions très différents des autres, enfin, surtout ma sœur, mais même si elle était différente, je l’aimais de tout mon cœur. Plus je grandissais plus je devenais agressif, sauf avec Érin, j’étais le seul a pouvoir la canaliser.
Je me méfiais des autres, je ne faisais confiance à qui que se soit, mais avec ma sœur, cela était différent, on s’amuser toujours ensemble elle pouvait être comme moi, comme si on était un seul et unique être.

Un beau jour, nos parents nous ont laissé seuls, j’avais compris que c’était à cause de moi parce que j’étais devenu trop violent avec les autres, mais je compris que c’était surtout à cause d'Érin à cause de ses personnalités, elle en avait tellement que l’on ne pouvait les compter, et en créa d’avantages chaque jour.
C’est à 5 mois que l’on fut seul sans nourriture. Jusqu’à ce jour où un couple passa au même endroit deux jours plus tard après notre abandon. Ils nous trouvèrent seul mourant de faim. Ils ne pouvaient pas s’empêcher de nous adopter, nous étions si mignons aussi, enfin, surtout moi. Bien sûr, j’étais assez méfiant contrairement à ma sœur, mais elle avait besoin d’amour de la part de ces adultes, et moi aussi au fond.

Cela faisait déjà un an qu’on vivait avec nos nouveaux parents, mais eux étaient différent, ils nous accepter comme nous étions, c’étaient les parents que j’ai toujours rêvé d’avoir. J’ai appris a chassé et j’adorer ça. Tandis qu'Érin, elle apprenait à devenir guérisseuse, mais ceci n’était pas du tout son point fort, elle n’était pas douée pour soigner mes plaies.

Jusqu’à qu’un soir d’orages, cette vie que j’appréciais, fut détruite en quelques secondes. Moi et Érin nous nous appartenons à nous coucher, mais, un vagabond passa devant notre tanière, c’était une énorme me bête qui était pleine de cicatrice, notre père l’invita dans notre tanière pour se protéger de la tempête, je n’avais aucune confiance en cette bête et j’avais bien raison de m’en méfier. Le loup s'approcha de nous, ouvrit la gueule, et sauta à la gorge de notre père, mère essayait de le protéger, mais c’était trop tard, je lui sautais à la gueule en essayant de défendre ma famille comme je le pouvais. Mais, mes parents étaient déjà décédés sous nos yeux, je retournais la tête et je vis Érin qui était terrorisée, elle tremblait et ne bougeait pas d’un poil. Elle vidait ses larmes de son corps, je ne disais rien, je n’avais envie d’une seule chose, s’étais de pleurer avec elle, mais, j’ai réussissais  à résister. Elle devenait autre chose que ma sœur, je ne la reconnaissais pas, pourtant c’était son corps qui bougeait. Elle combattait avec moi celui qui avait tué nos parents, mais il avait finit par s’enfuir. Érin tomba dans les pommes, je m’allongeais à ses côtés, je savais que ce n’étais pas sa faute et au fond elle était toujours ma sœur.  A son réveille, je ne me sentais plus moi-même, j’avais envie de violence et de venger ma famille, heureusement qu’Érin était toujours la, je ne pourrais vivre sans elle.

On resta seul durant quatre mois. Je protégeais ma sœur comme je le pouvais, je ne voulais que personne ne la touche, et m’assurer qu’a chaque fois elle n’était pas blessé. Durant ces quatre mois, je me sentais de plus en plus violent avec les autres, et le pire dans tout cela, c’était que j’adorais cela. Je critiquer tous les canidés que je croisé, je ne savais pas pourquoi et je pense que je ne le saurais jamais. Je n’aimais personne, à part ma sœur.

C’était une journée de pluie, Érin et moi nous nous sommes disputés, fâché l’un contre l’autre, on se sépara, mais moi qui ne pouvais vivre sans elle, je m’empressais vite de la rejoindre, mais je ne la trouvais pas, elle avait disparu.  Je continuais à marcher sous la pluie, le froid ne m’atteignais plus, je ne désirais qu’une seule chose, retrouver la moitié de mon cœur perdu.

Plusieurs jours passèrent, seul, j’avais peur.  Ma sœur me manquer, cela fera un mois qu’elle n’était plus la, j’avais peur pour elle, peut être qu’elle était en danger, je ne cessais de me poser des questions à sujets, mais chaque questions en apportait d’autre, cela était un cercle sans fin, mais je continuais avec l’espoir d’avoir un jour une réponse.

(Je rejoindrais bientôt la meute Kuragari, si Wistala accepte)