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Comme je ne pouvais m'arrêter pour la mort, aimablement, elle s'arrêta pour moi
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Mercenaire - Vagabond
Blasphème

Fiche du Loup
État de Santé: Très Bon
Santé:
Comme je ne pouvais m'arrêter pour la mort, aimablement, elle s'arrêta pour moi Vc31100/100Comme je ne pouvais m'arrêter pour la mort, aimablement, elle s'arrêta pour moi Oz9v  (100/100)
Loup:
LoupDescriptionDescription
ÂgeÂge3 ans et 9 mois
SexeSexeMâle
MeuteMeuteVagabond
RangRangMercenaire
PouvoirPouvoirRythme du Battant
PuissancePuissancePlume - Charbon
Blasphème
Mercenaire - Vagabond
Messages : 7
Feux Follets : 48
MessageSujet: Comme je ne pouvais m'arrêter pour la mort, aimablement, elle s'arrêta pour moi Comme je ne pouvais m'arrêter pour la mort, aimablement, elle s'arrêta pour moi EmptyLun 1 Oct - 19:07
Blasphème
« Je suis la mort. »

Âge : 3 ans
Sexe : Mâle
Meute : Vagabond
Rang : Mercenaire
Pouvoir : Rythme du Battant
Paliers: La mort vous va si bien qu'il faudrait être fou pour ne pas en profiter. Alors comme le songe d'une nuit, voilà que je m’immisce en vous d'une façon un peu abrupte et étrange, pour vous permettre de rencontrer la faucheuse.
Plume: Votre coeur vient-il de rater un battement ? N'avez vous pas eu l'impression pendant une demi seconde que quelque chose d'anormal se produisait en vous ?
Aile: Vous sentez les pulsations de votre coeur qui s'accélèrent légèrement pendant quelques secondes dans votre poitrine et qui provoque quelques légers étourdissements ? C'est une bien étrange sensation, que de ne plus être maître de son corps.
Phoenix: La sensation d'un coeur qui ralenti et qui accélère ensuite est très pénible, probablement plus pénible qu'une simple accélération. Et le fait de jouer avec cet organe doit probablement vous mettre en colère, non ?
Griffon: Est-ce que c'était quelque chose qui ressemble à une crise cardiaque ? Non, mais ça en est très proche. Pendant une minutes ou deux, vous avez vraiment cru que votre coeur refusait de fonctionner. A juste titre.
Dragon: Vous suffoquez très probablement à cause du manque d'oxygène et si vous peinez à respirer, c'est très probablement parce que votre sang ne circule plus dans d'autres organes vitaux. Soyez prudents, le cerveau est tellement dépendant...
Caractère

Il ne semble pas envisageable de décrire ce qui ne peut être décrit. Le monstre est instable, ne connait aucune limite et n’a pas de notion de respect. Sans le moindre raisonnement, sans la moindre idée de stabilité, il évolue dans un monde bien trop beau et bien trop clair pour y être à son aise. Il se complait dans le malheur et la douleur, qu’il s’agisse de la sienne ou de celle d’autrui. Il ne se sent pas vivant car il n’a jamais eu l’impression de l’être réellement. Pour lui, la chance et le karma n’existent pas, seule la désolation à son importance. Qu’elle vienne de lui ou des autres.

Physique

Monstre sans corps et sans visage, innommable créature sortie tout droit des ténèbres, jamais plus on ne fut capable de nommer Blasphème par son physique. Fou, à l’allure d’un fou. Des poils en moins sur les pattes, l’air perdu constamment et la bave qui menace parfois de s’écraser au sol. Les crocs luisants et le pelage anarchique, rien ne sonne comme étant rassurant chez ce monstre infâme. Le pire, ce sont sans doute ses deux yeux, d’un jaune tellement intense qu’il en devient captivant, pire, effrayant. Le monstre ne peut être décrit car il n’existe aucun mot qui soit à même de le représenter. Géant solide comme un roc, et à l’air pourtant tellement décharné que ses os semblent sur le point de casser, il avance pourtant dans les ténèbres.


Histoire

Lueur angoissante qui se dessine à peine dans le brouillard opaque de la nuit. Deux points jaunâtres observent les lieux avec prestance et arrogance. Il n’y a pas un bruit aux alentours, pas la moindre âme qui vive non plus. C’est ce silence, ce silence pesant et angoissant qui vient rompre la monotonie incertaine de cette nuit sans lune. Il ne fait pas froid et rien ne laisse à croire que l’automne est né quelques jours auparavant. L’air est pourtant lourd, chargé d’une humidité menaçante. Le ciel gronde au loin, mais il n’y a personne pour s’en soucier réellement. Probablement l’orage sera-t-il clément ce soir. Ou alors, laissera-t-il place au carnage et à la désolation. Seuls les devins auraient pu le prédire. Mais encore aurait-il fallut qu’ils vivent assez longtemps pour sentir la mort arriver et deviner à quel point cette nuit serait peut-être désastreuse. Pour l’instant, rien ne laissait à présager quoi que ce soit. Il n’y avait que le calme d’une nuit d’automne et ces deux yeux d’un jaune vif effrayant. Deux yeux qui ne cessaient de surveiller les lieux comme s’ils leur appartenaient. Deux yeux qui laissaient aussi deviner une imposante silhouette, cachée dans une obscurité lourde et étouffante.

Une chouette tenta de s’imposer en se posant sur une branche, un peu en amont de la clairière. Blanche et d’une beauté royale, elle observa pendant un temps la scène avec une clairvoyance que seuls les esprits peuvent avoir puis, ses yeux perçants se posèrent sur la masse sombre qui s’était tapie dans l’ombre. Par deux fois elle se fit remarquer, rompant le silence qui s’était pourtant installé de façon impériale, sans doute pour prévenir de la menace qui s’installait peu à peu. Mais, comme l’air lui-même ne voulait pas d’élément perturbateur, il souffla tellement fort que l’oiseau effrayé préféra reprendre son vol comme s’il n’avait jamais pris fin. La chouette disparut alors dans un dernier cri de terreur.

Père observait la clairière avec colère. Elle n'était pas là alors qu'elle lui avait donné sa parole et il ne pouvait supporter l'idée qu'elle ne lui soit pas fidèle. C'était une louve, elle lui devait forcément obéissance et n'avait pas à interférer avec ses plans à lui. Elle n'était d'ailleurs qu'un pion sur l'échiquier géant qu'il avait construit seul, pendant une succession d'année. Il se faisait vieux désormais, même pour un loup de son genre et dans un éclair de lucidité, il avait bien deviné que sa fin ne tarderait plus. Son pouvoir, il le jugeait comme quelque chose d'infernalement divin. Probablement même l'avait-il volé aux grands esprits à sa naissance. Son pouvoir, son sang, il refusait de le voir disparaitre à cause d'une vie passée. S'il prenait de l'âge, son esprit restait suffisamment vif et c'était dans un éclair de lucidité qu'il avait entrevu la vérité. Il devait engendrer une progéniture tout aussi divine que lui, qui lui succéderait, comme des chiens infernaux sur terre. Des monstres tous droits venus des abîmes les plus profondes que l'Enfer connaisse. Alors, ce soir, c'était le grand moment. Voilà une éternité qu'il attendait que sa femelle ne soit à même de porter sa descendance. Et même s'il avait dû attendre ce qui lui avait semblé une éternité, ce soir, c'était le moment. LE moment. Il allait enfin offrir au monde les pires monstres, les pires créatures de sadismes, les pires abominations qu'il ne connaîtrait jamais. Le fléau. C'était tout ce qu'il souhaitait. Un monde emplit de feu et de sang, un monde qui ne parviendrait plus jamais à se satisfaire de sa médiocrité pestiférée. Il allait leur donner la mort. Il allait leur donner la famine. Il allait leur donner la guerre. Il allait leur donner la pestilence. Il allait pouvoir atteindre son but unique sur Terre. Son plan était parfait. Tout ce qui lui manquait, c’était la femelle qui portait ses monstres. Et, alors qu’une bourrasque soufflait doucement sur la clairière dans laquelle il l’attendait comme convenu, il lui sembla que le vent lui hurlait que son destin ne serait pas aussi prometteur que ce qu’il pouvait espérer. Mais il n’avait jamais eu à se soucier du ciel et de ses énigmatiques suggestions ; tout ce qui lui avait toujours importé, c’était les faits.

Mère avait hésité, avant de venir. Douce comme le jour et aussi blanche que la neige, elle avait été promise à un grand avenir en tant que guerrière au sein de la meute Kuragari. Adoptée par une vieille louve, elle avait toujours bénéficié d'amour et de bienveillance et n'avait jamais manqué de quoi que ce soit. Pourtant, depuis qu'elle était en âge d'aimer, elle avait choisi d'offrir son cœur à un loup aux yeux jaunes. Il avait pourtant dépassé les limites en venant chasser sur les terres des siens, mais elle s'était bien gardée de le dire à qui que ce soit. Et ce mâle-là, ne lui avait pourtant jamais fait confiance car elle avait toujours vu la vérité qu'il tentait de lui cacher. En lui, elle avait vu l'espoir d'un monde meilleur, mais aussi le terrible spectacle de la désolation et d'un massacre inarrêtable. C'était l'amour qui la poussait toujours vers lui, comme une force inexplicable, implacable et dont elle ne pouvait se défaire, malgré les avertissements des autres loups. Alors, la louve avait accepté le pire venant de lui ; lui accorder une portée. Elle n'en avait jamais eu et d'autres femelles lui avaient dit qu'elle n'aurait que très peu de petits pour une première mise à bas. Mère ne s'en souciait guère, elle n'avait pas conscience de ce qu'elle acceptait, tant qu'elle pouvait satisfaire le mâle qu'elle aimait. Pourtant, plus les jours passaient et plus elle sentait grouiller dans son ventre des âmes enragées qui semblaient la dévorer de l'intérieur à petit feu. Sa gestation, elle l'avait rendue totalement folle. Elle voyait des morts, des choses qui n'existaient pas. Elle ne comprenait plus les rouages du monde, elle voulait mourir, puis vivre, puis mourir à nouveau. Ce soir, c'était le grand moment, celui de sa délivrance. Elle expulserait hors de son corps cette vermine infâme et elle tournerait le dos à tout ça. Il n'y aurait plus de mal étrange au cœur noir, plus de morveux pour lui enlever sa jeunesse et son innocence d'antan. Mère pourrait enfin se concentrer sur elle et sur elle seule. Mais il lui restait un dernier geste à accomplir. Devait-elle oui ou non accorder au mâle répugnant son dernier souhait ? Car son amour se muait peu à peu en une haine implacable, pour lui et pour la vie qui sommeillait en elle. De nombreuses fois elle avait tenté de venir à bout de la mauvaise herbe qui prenait place dans le bas de son ventre. Jamais elle n'était parvenue à ses fins pourtant, comme si la Mort elle-même ne souhaitait pas des monstres qu'elle était pourtant sur le point de faire naître. Mère ne voulait pas offrir ce fléau à sa meute, de crainte de semer la destruction chez ceux qu'elle aimait tant. Alors, finalement, elle décida d'offrir au mâle les créatures qu'il voulait tant.

Mère était sur le point de donner naissance lorsqu’elle rejoignit enfin Père. Exténuée, elle se laissa tomber sur le sol humide et malodorant. C’était sa première fois et elle ne s’était pas préparée à de si vives douleurs. Père n’avait rien dit en la voyant, mais son cœur débordait désormais d’une joie maladive et proche de la folie. Il ne l’aida pas, ne chercha pas à la rassurer et se contenta de l’observer sans un mot. Mère donna alors naissance, lentement et douloureusement, à sept horribles créatures sorties des cuisses de Satan lui-même. Elle sentit chacune des petites bêtes tâcher un peu plus son pelage blanc comme la neige et elle les maudissait un peu plus à chaque seconde qui passait. Père, lui, exultait et pourtant il ne parvenait à contenir sa rage. Il n'avait pas voulu d'autant de petits. Quatre, c'était ce qu'il avait prévu pour son si grand plan. La plupart étaient faibles, à peine assez gros pour avoir l'air d'être de vrais loups. Ils étaient hideux dans leurs traits angéliques et il ne pouvait accepter l'idée d'avoir de telles choses pour descendance. S'il avait voulu des anges pourtant, ils auraient été parfaits. Alors, dans le silence pesant de la nuit, il en exécuta trois qu'ils jugeaient plus faibles que les autres. Mère ne protesta même pas. Couchée sur le flanc, elle se contentait simplement de respirer maintenant qu'elle était enfin déchargée du poids de cette infâme sorcellerie. Elle n'avait plus qu'une hâte, partie. Père l'exécuta également. Mère ne protesta même pas, probablement parce qu'elle ne souhaitait pas être la spectatrice du défilé des horreurs qui auraient lieu dans quelques années. Pour Père, elle n'était pas utile et elle ne l'avait jamais été. Alors, cette nuit-là, ses apocalyptiques enfants ne goûtèrent pas au lait chaud d'une mère aimante, mais à son sang rouge et à peine tiède et à celui de leurs frères et sœurs morts trop tôt, pendant que Père dévorait leurs cadavres puants.

Blasphème. Ce nom n’avait absolument aucun sens, tout comme celui qui le portait. Il était l’aîné, le leader et surtout, le préféré de Père. Blasphème. Un nom tout aussi répugnant que l’âme qui habitait son corps putride. Quelque chose n’allait pas avec le louveteau. Ses yeux jaunes dénotaient déjà d’une folie infantile qui le poussait à faire des choses innommables. Il ne prenait du plaisir que lorsqu’il était enfin capable de percevoir la douleur et la terreur dans les yeux des adultes qui croisaient sa route. Père le considérait comme un fils prodige et à juste titre, car le louveteau apprenait ses enseignements à une vitesse fulgurante. Père était persuadé qu’il serait à même de devenir le monstre le plus infâme que le monde puisse connaitre. Et Blasphème finit par s’en persuader lui-même. Ses deux frères et sa sœur n’étaient pourtant pas en reste, ils brillaient tous d’une certaine excellence dans l’art de faire souffrir les autres. Chacun avait ses forces et ses faiblesses, mais lorsqu’ils étaient tous les quatre, personne ne pouvait parvenir à les stopper. Pas même Père, s’ils avaient voulu un jour se retourner contre lui. Mais jamais aucun des quatre n’y songea. Père y veillait avec bien trop d’intention, contrôlant chacune de leurs pensées, toujours avec plus d’acharnement et de colère. Et jour après jour, mois après mois, il faisait de sa progéniture tant désirée une horde de monstres répugnants.

Le sang. Voilà tout ce qui importait pour Blasphème, tout ce qu’il souhaitait, tout ce qu’il voulait, tout ce qu’il désirait. Mais le sang de ses proies demeurait pourtant toujours aussi fade et infâme. Seul celui d’autres loups parvenaient à assouvir sa soif inarrêtable. Et plus le temps passait, plus il semblait devenir fou. Parce que ce n’était jamais assez, jamais suffisant, jamais parfait. Jusqu’à ce qu’un jour, il frôle le nirvana en égorgeant un louveteau. La satisfaction fut bien trop courte, et pourtant, alors que la mère hurlait de terreur tandis que ses frères et sœurs la dévorait vivante, lui se complaisait à se nourrir de cette si frêle et si fragile petite chose au gout si délicat et subtile. C’était là son bonheur parfait, son moment de gloire, sa révélation. Le sang d’un louveteau agonisant était bien plus doux et plus pure que n’importe quel autre sang qu’il ait pu goûter auparavant. C'était parfait, absolument parfait. Père les laissa fêter cette chasse, ce soir-là. Parce qu'il était temps d'admettre que ses monstres encore jeunes étaient pourtant devenus des démons accomplit. Il avait réussi. C'était là l'aboutissement de temps d'années de pratique, de sournoiserie, à tenter avec un nombre incalculable de femelles, à essayer, encore et toujours d'avoir la progéniture parfaite, avant de cumuler encore et toujours d'effarants échecs. Mais il avait tenu bon et n'avait jamais perdu de vu son objectif principal. Et maintenant, son rêve s'accomplissait enfin. Pour de bon.

Père mouru dans la nuit, alors même qu’il dormait profondément pour la première fois depuis longtemps. Ses enfants le réveillèrent toutefois avant de passer à l’acte. Ils le tuèrent tous les quatre, d’un commun accord et sans même s’être concertés auparavant. Il n’avait plus la moindre emprise sur eux désormais et ils étaient maintenant libres de vivre comme bon leur semblait. Probablement parce qu’il n’avait plus été très vigilant, ou alors parce qu’ils étaient devenus trop forts et trop matures pour qu’il ne parvienne à les modeler totalement à son image. Mais ils étaient libres désormais. Alors, après un étrange moment où ils se toisèrent du regard sans exprimer le moindre mot, ils partirent chacun de leur côté en se jurant de se revoir un jour, un dernier jour, pour semer le chaos sur les terres des loups. Ils ne dévorèrent pas la carcasse de Père pourtant, jugeant qu’il ne méritait même pas d’être consommé. Son corps putride serait la seule trace de son passage sur Terre désormais.

Blasphème devint donc un loup vagabond aigri dont la solitude ne faisait qu’amplifier la folie. Il n’était plus capable de tenir le moindre discours probant et il s’en moquait bien d’ailleurs, puisqu’il n’avait personne à qui parlait. Tout ce qui l’intéressait, c’était le chaos, encore et encore, sans relâche. Parce qu’il ne connaissait que cela et qu’il ne voulait rien apprendre d’autre. Pour rien au monde.

Un peu de vous

PUF : J'ai eu bien des noms, bien des représentations, mais aujourd'hui plus qu'hier, je suis et je resterai Juny l'intrépide.
Âge : Ça y est, c'est officiel il me semble, j'ai désormais 22 ans et toutes mes dents viennent de tomber.
Autre : Les cacahuètes et les licornes sont les deux plus belles créations de mère Nature. Serieusement.

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Alpha - Hikari
Elemiah

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Comme je ne pouvais m'arrêter pour la mort, aimablement, elle s'arrêta pour moi Vc31100/100Comme je ne pouvais m'arrêter pour la mort, aimablement, elle s'arrêta pour moi Oz9v  (100/100)
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MessageSujet: Re: Comme je ne pouvais m'arrêter pour la mort, aimablement, elle s'arrêta pour moi Comme je ne pouvais m'arrêter pour la mort, aimablement, elle s'arrêta pour moi EmptyLun 1 Oct - 19:09
Re-bienvenue 8D

AGROUGROU *moi méchant*
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Mercenaire - Vagabond
Blasphème

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MessageSujet: Re: Comme je ne pouvais m'arrêter pour la mort, aimablement, elle s'arrêta pour moi Comme je ne pouvais m'arrêter pour la mort, aimablement, elle s'arrêta pour moi EmptyLun 1 Oct - 19:14
Ehe mais merci m'dame :3
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Mercenaire - Vagabond
Blasphème

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Blasphème
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MessageSujet: Re: Comme je ne pouvais m'arrêter pour la mort, aimablement, elle s'arrêta pour moi Comme je ne pouvais m'arrêter pour la mort, aimablement, elle s'arrêta pour moi EmptyMar 2 Oct - 22:42
Pardon pour le double post, je tiens simplement à signaler que ma fiche est terminée Smile
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PNJ - Renard
Kitsune

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Kitsune
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MessageSujet: Re: Comme je ne pouvais m'arrêter pour la mort, aimablement, elle s'arrêta pour moi Comme je ne pouvais m'arrêter pour la mort, aimablement, elle s'arrêta pour moi EmptyJeu 4 Oct - 21:52
Je suis réellement fan de ton histoire, mais il fait peur ton perso °° (c) Millie

Comme je ne pouvais m'arrêter pour la mort, aimablement, elle s'arrêta pour moi 45zd
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PNJ - Esprit
Rakuen

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MessageSujet: Re: Comme je ne pouvais m'arrêter pour la mort, aimablement, elle s'arrêta pour moi Comme je ne pouvais m'arrêter pour la mort, aimablement, elle s'arrêta pour moi EmptyDim 7 Oct - 16:39
Te voilà validé jeune loup !
Tu peux parcourir les terres de Ryûtora sans autorisation, mercenaire !
N'oublie pas que le Rythme du Battant ne doit jamais faiblir.

Comme je ne pouvais m'arrêter pour la mort, aimablement, elle s'arrêta pour moi 6dpi
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MessageSujet: Re: Comme je ne pouvais m'arrêter pour la mort, aimablement, elle s'arrêta pour moi Comme je ne pouvais m'arrêter pour la mort, aimablement, elle s'arrêta pour moi Empty
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