Arrogant, calculateur, patient, froid, distant, intelligent, déloyal (sauf envers son modèle), affamé de chair de loup (littéralement, il est cannibale), sanguinaire, aime torturer ses proies, n’a pas peur de la mort, ni de l’échec. ----------------------------------Qui je suis ? Moi, Hircine, qui je suis ? Au fond je n’ai jamais su d’où je venais, alors je ne sais pas qui je suis génétiquement. Qui est ma mère ? Mon père ? Je n’en sais rien, mais je les hais, du plus profond de mon être de je les hais. Ils m’ont abandonné, moi un louveteau, la chair de leur chair, le sang de leur sang, ils m’ont laissé, là, près de cette rivière rouge, sous ce soleil de sang, tout était rouge autour de moi, tout, mais aucune chaleur n’était présente, il faisait froid, froid comme la mort, froid comme mon coeur et mon esprit désormais. Je suis la glace, croc-de-givre, crocs-d’ivoir, je suis maintenant la mort que vous redoutez, il m’ont laissé, là, sans-vie, moi louveteau, et maintenant c’est moi qui prends des vies, en espérant qu’un jour, mon don m’aide à poser mes crocs sur la nuque, arracher leur jugulaire, briser leur trachée, me repaître de leur sang, de leur chair, de leur moelle. Les dévorer jusqu’à l’os, les entendre souffrir sous mes griffes, sous leurs os qui se brisent, les entendre me supplier de les achever tandis que je les dévore déjà, encore vivant, je me délecte de ce moment futur, de leur mort prochaine, car je les tuerais, un jour ou l’autre, je les tuerais, et j’attends ce jour patiemment, peut importe ce qu’il en coûte, je les tuerais.. Je me tapis, dans l’ombre, mes yeux ambré vous fixant, ce sentiment d’observation, c’est moi, et le hurlement qui vous terrorise, c’est la mort.
Je suis magnifique, je vous le jure, je suis splendide ! Regardez ce magnifique pelage de jais, aux doux reflets bruns, ces deux orbes ambrés qui virent au blanc complet quand je fais appel à la force qui est en moi, mon pouvoir de traque… Petit rire arrogant Vous ne pouvez que acclamer ma beauté, de toute façon ce sera la dernière chose que vous verrez avant que mes merveilleux crocs ivoirs ne vous arrache la gorge tandis que je me repaîtrai de votre sang et de votre chair, votre succulente chair qui n’attends que de finir au fond de mon estomac, après tout tout le monde doit manger, non ? Mon corps est musclé -je ne suis certes pas imposant-, mon poil fin, je suis rapide, traquer est un art et mon corps est mon outil, tandis que ma mâchoire mon coup de maître ! Mâchoire puissante, assez pour briser la nuque de n’importe quel loup, mes pattes sont munis de griffes qui lacéreront vos côtes tandis que ma mâchoire vous tue lentement. Vos pâtes brisées, broyées sous mon poids, sous mes coups, la surprise qui m’aura permis de briser vos os grâce à mes splendides talents de traqueur,c’est ce que vous verrez, la mort en regardant dans mes yeux blancs, et tremblerez quand la marque sous forme de crâne lupin arrivera à vos yeux, cette marque blanche, blanche comme la neige, qui ne se salit jamais, elle vous terrifiera, mais toujours moins que le hurlement que je pousserais quand la traque sera lancée.
Ma vie a commencé dans le chaos, abandonné par ma mère et mon père, aux abords d’une rivière, une rivière rouge… Ma vie a commencé dans le chaos. J’ai survécu, comment ? Aucune idée, je ne me souviens que du goût du sang, un goût âcre, métallique, étrange… Et délicieux. La chaire, fraîche, sanguinaire, exquise, je l’ai découverte en dévorant des loups morts depuis peu, avant que les corbeaux ne ravagent leur carcasse. Je n’étais qu’au début de ce qui sera ma consécration.Je n'ai jamais vraiment été satisfait en dévorant la chair des morts, mais je devais m'en contenter... Trop faible pour tuer, trop faible pour chasser, trop faible pour survivre... Non il se sont trompés ! Je survivrai, même si je dois dévorer la chair des morts... Et celle des vivants.Déjà un an maintenant que je vis seul, comment ont ils pu m'abandonner ? Moi la chair de leur chair ! Étais je une erreur à leurs yeux ? Suis je vraiment un déchet pour eux ? Moi ? Leur enfant ? Pour m'avoir abandonné je me vengerais, je me repaitrais de leur chair, de leur sang, de leur vie ! Je les tuerais, eu, eux qui m'ont laissé crevé là, alors que je n'étais qu'un louveteau sans défense, ne demandant qu'à vivre, qu'à grandir auprès de mes parents ! Je les dévorerais ! JE LES DÉMEMBRERAIS VIVANT ET JE ME RÉJOUIRAIS DE LEURS CRIS DE DOULEURS ! La haine ne fait que grandir chaque jour qui passe, à chaque minutes je sens ce feu qui m'anime et qui me pousse à traquer, à tuer, à torturer, mais toujours rien, je ne sais rien de qui était mes parents, je ne sais qu'une chose c'est que j'ai été disposé près d'une rivière de sang.
PUF : C’est moi EwaaaaaÂge : bientôt la majorité (dans 1 ou 100 ans)Autre : PSYCHOPATHE **