Histoire
Durant une nuit, alors que la lune était cachée par des nuages maléfique, un petit être n’a vu que l’obscurité de cette vie. Né d’un parfait amour entre une Kuragari et un vagabond un peu spécial, j’ai vu le néant. Je me sentais heureux, bien dans ma peau. J’étais plus imposant que les louveteaux de mon âge, j’apprenais plus vite et me muscler rapidement. Il y a eu beaucoup de jaloux, mais j’avais un secret que personne ne devait connaître.
Ma mère me protéger et aimé cette particularité chez moi, elle me disait que je ressemblais énormément à mon père qu’elle a tant aimée et qu’elle aime toujours. Apparemment, il était là à ma naissance, il était là aussi durant mes exploits, toujours là à m’observer dans les ténèbres. Il m'a vu grandir, mais ce ne sont que des mots. J’aimais beaucoup ma mère et c’est pour cette raison que je l’ai toujours cru, parce qu’elle m’acceptait tel que j’étais, contrairement à d’autres mères qui m’aurais jeté dans le froid de la nuit. Certains me disaient que ma mère n’était qu’une traînée d’autre disait que mon père me haïssait parce que ma mère m’aimait plus que lui et que c’était pour ça qu’il était parti.
Il m’arrivait de parler à moi-même, mais je n’avais pas l’impression que c’était moi. J’aimais beaucoup ma mère et c’est pour cette raison que je l’ai toujours cru, parce qu’elle m’acceptait tel que j’étais, contrairement à d’autres mères qui m’aurais jeté dans le froid de la nuit. Je n’ai jamais eu d’ami et je n’en demandé pas vraiment. Mais le hasard faisait bien les choses, car un petit être comme moi, mais en plus différent avait accepté d’être mon ami. Je lui avais caché à lui aussi mon secret, mais on s’entendait très bien. Sa maman était morte alors c’est la mienne qui l’a adopté et on est devenu frère comme ça. On avait le même pelage gris.
On a grandi ensemble est ce que j’avais au fond de moi grandissait et prenait de l’ampleur. Ma mère restée tous les soirs à mes côtés pour m’aider a gardé le contrôle de ce qui envahissait mon esprit. C’est durant ces périodes que mon frère compris ce qui n’allait pas chez moi, je n’étais pas seul. Trois voix vivaient dans ma tête. C’est à mes 6 mois que je découvris mon pouvoir pour la première fois. Alors, que je me promener le soir dans le camp, j’entendais des voix étrange, curieux, j’approchais à pas de loup (logique), mais je n’entendais pas encore très bien. Sans comprendre pourquoi, je me retrouvais dans l’ombre des buissons et écoutais attentivement ce que les grands disaient. Je compris que je pouvais me déplacer, mais je ne savais pas comment le faire. Discrètement, je retournais voir ma maman, et dormais à côté de mon nouveau frère. Elle était douce avec nous, est, elle aimait autant mon frère que moi, même si sa maman était une vagabonde. Elle disait toujours que seul le cœur comptait et elle avait raison.
Plus je grandissais, plus je les étouffais, mais souvent, ils refaisaient surface. Ma mère aimait ce côté mystérieux qui prenait de plus en plus de place dans mon cœur, je restais seul accompagné de mon seul ami qui était devenu mon frère. Il me comprenait et comprenait chacune de mes personnalités. Je restais tout de même à l’écart des autres sans dévoiler qui j’étais au fond de moi. Ces voix étaient la seule chose que j’avais en commun avec mon père en plus de mon pelage grisâtre, ma mère était blanche comme la neige avec les mêmes yeux que moi.
Seulement ce petit bonheur ne dura que peut, car celle qui m’avait aimé, qui m’avait protégé des moqueries quand j’étais petit, qui m’avait accepté. Cette même et unique personne venait de perdre la vie. Une part de moi venait de s’éteindre. Mon frère et moi pleurions ca mort qui n’était autre que naturel. Elle qui pensait être stérile, j’étais son seul et unique hérité. En ce jour maudit, ils revenaient, plus puissants que jamais, mes sentiments m’avaient plongé dans le désespoir, j’étais seule, seul comme autre fois.
Tu n’es pas seul maître.
Nous sommes avec toi, nous sommes toi, et tu es nous aussi.
Sombre avec nous, sombre dans la folie.
Si doux, si chaud, mon regard croisa celui de Fenrir, cette couleur froide et pourtant, il me ramena dans la lumière. Je me souvenais ce qu’elle me chuchotait avant que je m’endorme au creux de mon oreille « cache les, personne ne doit s’avoir, car c’est un cadeau de notre dieu ». Je pris la décision de devenir Omega, cachant mes voix au fond de mon âme, je sentais leur griffe spectrale dévorer l’intérieur de mes entrailles. Je le faisais pour elle, pour honorer son souhait et caché ma véritable nature. Je ne savais pas si mon père était toujours en vie ou non, mais je gardais en mémoire, ce qu’elle me disait, qu’il était là tout proche de moi, à me regardait cacher dans les ténèbres. Je n’ai jamais suivi d’entraînement, mais Fenrir voulait que j’apprenne à me défendre, alors les soirs avant de dormir, il me montrait deux ou trois trucs. Mes voix, n’aimaient pas ce que je faisais, ils voulaient de l’action, mais je désirais plus que tout honorer la mémoire de ma mère, alors ils détruisaient mon esprit de toute sorte d’image sanglante. Quand ceux qui désiraient se défouler, souvent mes voix me forcer à les affronter.
Je m’excusais devant ma violence, mais il n’y avait rien à faire, tous avaient compris ce que je cachais au fond de moi.