Au réveil de la louve, le canidé n’était plus là, la femelle, n’avait même pas entendu la réponse de son ami d’enfance, qu’elle avait sombré dans un profond sommeil. Elle était si fatiguée avec le froid permanent et bien plus en hiver où le vent était plus sec.

La guérisseuse était un peu triste de s’être retrouvée seule, son ami d’enfance avait cette fâcheuse habitude de la laisser seule. Par le passé, cela lui faisait un pincement au cœur, elle avait vécu bien des années, mais elle refuser de comprendre pourquoi elle se sentait si mal. Elle ne voulait pas souffrir davantage, alors elle ferma son cœur à la douceur et l’amour des mâles. C’était si triste, mais on lui avait bien trop pris, et la dernière fois n’était pas assez loin à son goût.

Cela faisait quelques mois qu’elle, c’était retrouvé seule, et depuis elle avait presque oublié, mais une odeur apparue, provenant de nul par lui remémorant de nouveau souvenir bien lointain. Pourquoi souffrait-elle temps ? Elle qui était si gentille avec les autres, rien que cette odeur, lui serré le cœur.

La tête basse, elle fit demi-tour pour ne pas croiser la route de ce canidé, pourtant, son odeur semblait venir dans sa direction bien trop vite. Alors ses pattes se mirent à trottiner en direction de sa tanière.

Pénétrant dans sa cachette, elle espérait ne pas rencontrer cet individu qui avait pourtant une grande place dans son cœur, mais s’ils continuaient à se fréquenter, elle deviendra bien plus importante et elle ne pouvait pas le permettre.